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Tous nos noms

Un livre sur la segregation. 3/5

J’ai un avis assez mitigé sur ce livre, on y trouve 2 narrateur; Isaac et Helen.

3/5

Résumé: Événement littéraire aux États-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l’auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l’évocation d’une amitié mise à mal par l’Histoire se confond avec le portrait d’un continent déchiré, il pousse plus loin encore l’exploration de l’exil et du déracinement.
Isaac, un jeune Africain, est venu aux États-Unis dans le cadre d’un programme d’échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l’a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d’une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher.
Du chaos de l’Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l’écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d’Helen et d’Isaac, saisit les paradoxes de l’Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes.

La partie de Isaac se passe en Afrique, où l’on découvre les conditions de vie d’Isaac et son ami, qui vivent dans un pays sous l’emprise d’une dictature ou chacun espère un avenir meilleur. Ensemble, ils commenceront une révolution de papier, sans lourdes conséquences mais qui va peu à peu les pousser à s’engager dans la lutte contre le régime, comme de vrais révolutionnaires, pour se battre pour la justice. J’ai beaucoup aimé cette partie avec ces deux jeunes, s’engagent pour une bonne cause, cette atmosphère de guerre ne m’a pas dérangé, j’ai eu envie de soutenir Isaac dans ce combat.

La partie de Helen, elle, est plus calme, Helen est l’assistante sociale de Isaac. Dans cette partie on va suivre l’histoire d’amour entre ces deux personnages en Amérique, une histoire très compliqué à vivre dans une société raciste, dans un pays ou la ségrégation bat son plein.
J’ai bien aimé les propos touchants de Helen face au racisme, qui l’empêche de vivre son histoire avec Isaac comme tout le monde. Seulement je n’ai pas trouvé cette partie très intéressante, elle m’a même parfois ennuyé, j’ai même préféré le chaos de l’Afrique.
Je n’ai pas réellement trouvée d’histoire d’amour entre nos deux personnages, il n’y avait tout simplement pas de communication, tout paraissait d’un calme assourdissant…

De plus je n’ai pas particulièrement accroché avec les personnages, j’ai trouvé Isaac distant en toute circonstance, comme s’il n’était pas réellement le personnage principal, et je ne me suis pas attachée à Helen, personnage simple, mais pas désagréable pour autant.

Pour moi le point fort de ce livre est ce que l’on voit à travers le regard de Isaac, ou il est question de combat, mêlé à de l’espoir.
Je l’ai donc apprécié pour ce côté là plus que pour son histoire, elle manque de relief, j’ai mit du temps à finir ma lecture, mais j’en garde tout de même un bon souvenir.

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J’ai un avis assez mitigé sur ce livre, on y trouve 2 narrateur; Isaac et Helen.

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Résumé: Événement littéraire aux États-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l’auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l’évocation d’une amitié mise à mal par l’Histoire se confond avec le portrait d’un continent déchiré, il pousse plus loin encore l’exploration de l’exil et du déracinement.
Isaac, un jeune Africain, est venu aux États-Unis dans le cadre d’un programme d’échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l’a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d’une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher.
Du chaos de l’Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l’écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d’Helen et d’Isaac, saisit les paradoxes de l’Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes.

La partie de Isaac se passe en Afrique, où l’on découvre les conditions de vie d’Isaac et son ami, qui vivent dans un pays sous l’emprise d’une dictature ou chacun espère un avenir meilleur. Ensemble, ils commenceront une révolution de papier, sans lourdes conséquences mais qui va peu à peu les pousser à s’engager dans la lutte contre le régime, comme de vrais révolutionnaires, pour se battre pour la justice. J’ai beaucoup aimé cette partie avec ces deux jeunes, s’engagent pour une bonne cause, cette atmosphère de guerre ne m’a pas dérangé, j’ai eu envie de soutenir Isaac dans ce combat.

La partie de Helen, elle, est plus calme, Helen est l’assistante sociale de Isaac. Dans cette partie on va suivre l’histoire d’amour entre ces deux personnages en Amérique, une histoire très compliqué à vivre dans une société raciste, dans un pays ou la ségrégation bat son plein.
J’ai bien aimé les propos touchants de Helen face au racisme, qui l’empêche de vivre son histoire avec Isaac comme tout le monde. Seulement je n’ai pas trouvé cette partie très intéressante, elle m’a même parfois ennuyé, j’ai même préféré le chaos de l’Afrique.
Je n’ai pas réellement trouvée d’histoire d’amour entre nos deux personnages, il n’y avait tout simplement pas de communication, tout paraissait d’un calme assourdissant…

De plus je n’ai pas particulièrement accroché avec les personnages, j’ai trouvé Isaac distant en toute circonstance, comme s’il n’était pas réellement le personnage principal, et je ne me suis pas attachée à Helen, personnage simple, mais pas désagréable pour autant.

Pour moi le point fort de ce livre est ce que l’on voit à travers le regard de Isaac, ou il est question de combat, mêlé à de l’espoir.
Je l’ai donc apprécié pour ce côté là plus que pour son histoire, elle manque de relief, j’ai mit du temps à finir ma lecture, mais j’en garde tout de même un bon souvenir.

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